•  

    Je viens de fermer derrière moi, "la porte des enfers"... à regret. L'histoire nous prend au collet, elle nous empoigne avec force. Nous plongeons dans l'abîme le plus profond et c'est vraiment sur la fin que l'on pourra remonter à la surface pour respirer. Le combat contre la mort a commencé... Mais il vous faudra descendre sous terre pour trouver l'entrée de l'enfer, y pénétrer pour aller chercher l'être cher et le ramener vers la vie. Est-ce que la mort vous laissera revenir à la surface ?... 

    Après lecture, je repense à la "Divine comédie" de Dante, au tableau du "Jugement dernier" de Léonard de Vinci, à la fin de "Don Juan" de Molière.
    Un livre fort, bouleversant, écrit à la mémoire de (ses) nos morts et qui va me poursuivre encore quelques jours. Mais ce n'est pas grave, Monsieur Laurent Gaudé, vous lire fut encore un plaisir. Merci.

    dans l'attente de vous relire très bientôt.

    Cordialement
    Voyelle



    Editions Actes-Sud 2008


    4ème de couverture
    Au lendemain d’une fusillade à Naples, Matteo voit s’effondrer toute raison d’être. Son petit garçon est mort. Sa femme, Giuliana, disparaît. Lui-même s’enfonce dans la solitude et, nuit après nuit, à bord de son taxi vide, parcourt sans raison les rues de la ville.
    Mais, un soir, il laisse monter en voiture une cliente étrange qui, pour paiement de sa course, lui offre à boire dans un minuscule café. Matteo y fera la connaissance du patron, Garibaldo, de l’impénitent curé don Mazerotti, et surtout du professeur Provolone, personnage haut en couleur, aussi érudit que sulfureux, qui tient d’étranges discours sur la réalité des Enfers. Et qui prétend qu’on peut y descendre…
    Ceux qui meurent emmènent dans l’Au-Delà un peu de notre vie, et nous désespérons de la recouvrer, tant pour eux-mêmes que pour apaiser notre douleur. C’est dans la conscience de tous les deuils – les siens, les nôtres – que Laurent Gaudé oppose à la mort un des mythes les plus forts de l’histoire de l’humanité. Solaire et ténébreux, captivant et haletant, son nouveau roman nous emporte dans un “voyage” où le temps et le destin sont détournés par la volonté d’arracher un être au néant.


    2 commentaires





  • © voyelle



    votre commentaire



  • © voyelle


    2 commentaires

  • © voyelle


                                                                     ...avant scène



    © voyelle


                                            PLEIN FEU !


    © voyelle


    votre commentaire

  • Une tranche de vie clownesque avec "Kiri, le clown", Laura l'écuyère, Ratibus le chat, Pip'lett la perruche et Bianca la jument.  Ma série préférée quand j'étais p'tite. ( 4/5 ans) Aïe ! ça date !

    Pour l'anecdote, ma grand-mère m'appelait Pip'lett,
    allez savoir pourquoi ? 

    Bonnes crêpes
    @+ Voyelle




    Kiri le clown

    Trotte, trotte ma jument
    Vole, tu as des ailes
    Cours bien vite dans le vent
    Ohé la vie est belle

    Nous irons de ville en ville
    Porter la joie de vivre
    Nous les petits et les grands
    Courons, il faut le suivre

    Nous ferons des cabrioles
    Les clowns sont faits pour rire
    Vive le cirque Kiri

    Oui, le voilà, oh halte-là
    Kiri, Kiri est là

    Dans la campagne refleurie
    Une carriole arrive
    Celle du cirque Kiri
    Tous les enfants la suivent
    Sur le siège tirant les rênes
    Kiri le petit clown chante

    Vite vite vite on est content
    De défaire nos malles
    On est arrivé à temps
    Nous les enfants de la balle

    Le cirque va commencer
    On entend la parade
    Prenez vos billets, entrez
    Mais c'est la bousculade

    Bravo clowns, dompteurs, jongleurs
    Nous sommes tous camarades
    Vive le cirque Kiri

    Oui, le voilà, Oh halte-là
    Kiri, Kiri est là

    Kiriiii, Kiriii


    votre commentaire





















  • © voyelle

                     ...elle est la porte ?!


    votre commentaire