• © voyelle

    "La vache qui rit" était destinée à la réalisation de Croque-Monsieur; mais quand j'ai ouvert la boîte, il restait 4 portions. Pas assez pour ce que j'avais prévu de faire. Cé Pô grave ! Il y a du jambon, des courgettes, des tomates et... 4 portions de vache qui rit ?! Allez, soirée gratin ! C'est parti !

    Préchauffez le four 180°. Coupez 2 courgettes en lamelles, les faire revenir dans une poêle avec un peu d'huile d'olive en remuant de temps en temps jusqu'à ce qu'elles soient presque tendres ( enfin pas trop cuites non plus, le passage au four terminera la cuisson ) Pendant la cuisson, vous ajoutez 1 cuillère à soupe de basilic, du sel et du poivre.
    Comme la recette est pour 2 personnes, j'ai utilisé 2 grands ramequins individuels plutôt qu'un grand plat et c'était plus sympa pour la présentation. Dans chaque ramequin:  1 couche de courgettes, mettre dessus 1 tranche de jambon blanc coupée en 2, puis 2 tranches de tomate, saupoudrez de chapelure ( 2 pincées sur chaque tranche de tomates )  et pour finir, déposez 2 portions de vache qui rit. Mettre au four pour 25 minutes. Servez chaud.

    Ce qui fait pour 2 personnes : 2 courgettes, 2 tranches de jambon blanc, 1 tomate, 4 portions de vache qui rit, chapelure, basilic, huile d'olive

    VERDICT : Un petit gratin express apprécié par 2 gourmands ( le père et le fils ) Il paraît que c'est sympa le goût de la vache qui rit avec les légumes.

    DIALOGUE :
    Voyelle - Ah ! je peux mettre la recette sur le blog, puisque c'est bon ?
    Le père et le fils - oui, oui, tu peux !

    CONCLUSION
    Voilà ! Fin d'une soirée super gratinée...Bonne nuit !



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  • © voyelle


    Je suis en train de faire un "relooking" du blog ( design, classement, mise en page...) qui va certainement me prendre plusieurs jours. Ne soyez pas étonnés si certains articles ou liens changent de place ou de titre. J'espère que cela ne va pas trop vous énerver et que vous continuerez à venir me rendre visite.

    des bises
    Voyelle 


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  • © voyelle

    Vous prenez du sucre ? un peu de lait ? un petit gâteau peut-être ? Vous avez raison, ils sont légers et fins; et je me suis inspirée de la recette ici, chez Tours et Tartines. Bah, oui...j'ai oublié de mettre le lait; mais ce n'est pas grave, mes shortbreads étaient réussis quand même. Alors voilà la recette :


    Shortbreads au citron et au pavot
    300g de farine
    2 CS de pavot
    100g de sucre brun
    Le zeste râpé d'un citron
    200g de beurre à T° ambiante
    2 CS de jus de citron

     Préchauffez le four à 180°. Dans le bol d'un robot, mettre 300 g de farine, 2 cuillerées à soupe de graines de pavot, 100 g de cassonade, le zeste d'un citron. Faites tourner le robot puis ajoutez progressivement le beurre et le jus de citron. Laissez tourner jusqu'à obtention d'une boule de pâte souple. Mettre la pâte au congélateur pendant 1/2 heure ( pas 1 minute de plus ). La pâte ne colle absolument pas aux doigts. C'est génial !
    Étalez votre pâte sur un plan de travail fariné ou une surface de film plastique ( c'est ce que j'ai fait ) pour obtenir une épaisseur d'1/2 centimètre environ. Découpez à l'emporte pièce et posez les gâteaux sur une plaque de four avec papier de cuisson et laissez cuire entre 10 à 15 minutes suivant la puissance de votre four. Pour moi, j'ai laissé 15 minutes mais pas plus. Surveillez la cuisson car les shortbreads brunissent vite.


    © voyelle

    Mes girafes et mes ours sont un peu pâles mais  cuits comme il faut, je vous assure. Et, ils sont encore meilleurs le lendemain. Pour les conserver, mettez-les dans une boîte en fer. 

                                                                            Encore un peu de thé ?
     


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  • © voyelle


    (...) « Je me demande si je vais traverser la terre d’un bout à l’autre ! Cela sera rudement drôle d’arriver au milieu de ces gens qui marchent la tête en bas ! On les appelle les Antipattes, je crois — (cette fois, elle fut tout heureuse de ce qu’il n’y eût personne pour écouter, car il lui sembla que ce n’était pas du tout le mot qu’il fallait) — mais, je serai alors obligée de leur demander quel est le nom du pays, bien sûr. S’il vous plaît, madame, suis-je en Nouvelle-Zélande ou en Australie ? (et elle essaya de faire la révérence tout en parlant — imaginez ce que peut être la révérence pendant qu’on tombe dans le vide ! Croyez-vous que vous en seriez capable ? ) Et la dame pensera que je suis une petite fille ignorante ! Non, il vaudra mieux ne rien demander ; peut-être que je verrai le nom écrit quelque part. »

    Plus bas, encore plus bas, toujours plus bas. Comme il n’y avait rien d’autre à faire, Alice se remit bientôt à parler. « Je vais beaucoup manquer à Dinah ce soir, j’en ai bien peur ! (Dinah était sa chatte.) J’espère qu’on pensera à lui donner sa soucoupe de lait à l’heure du thé. Ma chère Dinah, comme je voudrais t’avoir ici avec moi ! Il n’y a pas de souris dans l’air, je le crains fort, mais tu pourrais attraper une chauve-souris, et cela, vois-tu, cela ressemble beaucoup à une souris. Mais est-ce que les chats mangent les chauves-souris ? Je me le demande. » A ce moment, Alice commença à se sentir toute somnolente, et elle se mit à répéter, comme si elle rêvait : « Est-ce que les chats mangent les chauves-souris ? Est-ce que les chats mangent les chauves-souris ? » et parfois : « Est-ce que les chauves-souris mangent les chats ? » car, voyez-vous, comme elle était incapable de répondre à aucune des deux questions, peu importait qu’elle posât l’une ou l’autre. Elle sentit qu’elle s’endormait pour de bon, et elle venait de commencer à rêver qu’elle marchait avec Dinah, la main dans la patte, en lui demandant très sérieusement : « Allons, Dinah, dis-moi la vérité : as-tu jamais mangé une chauve-souris ? » quand, brusquement, patatras ! elle atterrit sur un tas de branchages et de feuilles mortes, et sa chute prit fin.

    Alice ne s’était pas fait le moindre mal, et fut sur pied en un moment ; elle leva les yeux, mais tout était noir au-dessus de sa tête. Devant elle s’étendait un autre couloir où elle vit le Lapin Blanc en train de courir à toute vitesse. Il n’y avait pas un instant à perdre : voilà notre Alice partie, rapide comme le vent. Elle eut juste le temps d’entendre le Lapin dire, en tournant un coin : « Par mes oreilles et mes moustaches, comme il se fait tard ! » Elle tourna le coin à son tour, très peu de temps après lui, mais, quand elle l’eut tourné, le Lapin avait disparu. Elle se trouvait à présent dans une longue salle basse éclairée par une rangée de lampes accrochées au plafond.

    Il y avait plusieurs portes autour de la salle, mais elles étaient toutes fermées à clé ; quand Alice eut marché d’abord dans un sens, puis dans l’autre, en essayant de les ouvrir une par une, elle s’en alla tristement vers le milieu de la pièce, en se demandant comment elle pourrait bien faire pour en sortir.

    Brusquement, elle se trouva près d’une petite table à trois pieds, entièrement faite de verre massif, sur laquelle il y avait une minuscule clé d’or, et Alice pensa aussitôt que cette clé pouvait fort bien ouvrir l’une des portes de la salle. Hélas ! soit que les serrures fussent trop larges, soit que la clé fût trop petite, aucune porte ne voulut s’ouvrir. Néanmoins, la deuxième fois qu’Alice fit le tour de la pièce, elle découvrit une petite porte haute de quarante centimètres environ : elle essaya d’introduire la petite clé d’or dans la serrure, et elle fut ravie de constater qu’elle s’y adaptait parfaitement !...

     
                                                                                       "Alice aux pays des merveilles - Lewis Caroll


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  •  © voyelle

    C'est ceux que j'ai utilisé pour la recette du "Cake à la banane aux éclats de carambars", j'ai oublié de mettre la photo dans l'article. Je lui ai trouvé une petite place ici.  ça donne envie, d'en prendre un petit morceau, hein ? Essayez pour voir !




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