• Pas si puissante que ça Marie Ndiaye ! bien écrit certes...juste et raffinée ?! oui, mais quelque part mon train est resté en gare. Trois jolis récits de femmes, oui, mais jolis c'est tout ! et je n'ai pas aimé le deuxième récit de femme...porté par un homme d'ailleurs ! Why ? J'avais à la base une énorme envie de le lire et Sister love me l'a offert pour mon anniversaire...mais je n'ai pas été transportée par les mots de Marie Ndiaye.
    En ce qui concerne l'humanité déchue, Laurent Gaudé (Eldorado) est plus puissant dans ses écrits...mais cela reste mon avis. Beaucoup de "mais" dans tout ça. Tant pis !

    trois femmes puissantes


    4ème de couverture
    Trois récits, trois femmes qui disent non. Elles s'appellent Norah, Fanta, Khady Demba. Chacune se bat pour préserver sa dignité contre les humiliations que la vie lui inflige avec une obstination méthodique et incompréhensible. L'art de Marie NDiaye apparaît ici dans toute sa singularité et son mystère. La force de son écriture tient à son apparente douceur, aux lentes circonvolutions qui entraînent le lecteur sous le glacis d'une prose impeccable et raffinée, dans les méandres d'une conscience livrée à la pure violence des sentiments.


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  • Une longue lecture (presque 800 pages) qui ne manque pas de charme ! Refaire sa vie, refaire le monde... selon Julia Glass,  c'est un régal !  Les personnages sont attachants et vivent ou vont vivrent des évènements qui vont bouleverser leurs vies. Ils vont devoir faire des choix...les bons ?!   certaines circonstances, rencontres...font que leurs décisions ne sont pas irrémédiablement  incontrôlables ou même définitives. 
    Greenie, Walter, George, Alan, Saga...   prennent tour à tour la parole et nous livre leurs sentiments, leurs souvenirs, leurs blessures, leurs doutes... parfois avec humour.  Livre attachant et énorme plaisir !  A déguster comme une grosse part de gâteau pas trop sucré ! 

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    4ème de couverture
     

    « Julia Glass nous offre dans son second roman un superbe récit sur le désir, la perte et la nostalgie. »  Chicago Tribune

    Pâtissière à Greenwich Village, Greenie se consacre tout entière à son jeune fils et à sa passion, la cuisine, tandis que son mari semble plongé dans la mélancolie. Quant à son ami Walter, il panse ses peines de cœur. De passage à New York, le gouverneur du Nouveau-Mexique, conquis par le gâteau à la noix de coco de Greenie, lui propose de devenir chef cuisinier de sa résidence. Par ambition autant que par désespoir, elle accepte et part vers l’Ouest avec leur fils en abandonnant son mari. Leur vie va être bouleversée par ce départ précipité, qui provoquera une série d’événements échappant à tout contrôle.

    Traduit de l'anglais (États-Unis) par Sabine Porte

    EXTRAIT

    « Le monde s’attend à trouver un gâteau cent pour cent chocolat, le truc mortel, tu vois, mais moi ce que je veux c’est une explosion de chocolat, un feu d’artifice, un volcan de chocolat !” Walter lui avait dit. Et c’est ainsi que ce soir-là, après avoir couché George, elle était retournée jusqu’à l’aube dans le sous-sol qui abritait ses cuisines, à deux pas de chez elle, pour créer un gâteau. En principe, c’était le type même de dessert que Greenie avait en horreur, mais il incarnait une telle opulence, une joie si transgressive dans cet étalage de beurre, cette miraculeuse substance protéiforme aussi essentielle au chef pâtissier que l’était le feu pour l’homme primitif. Walter avait baptisé le gâteau Apocalypse Now... »  

    " George adorait allumer les lumières de la cuisine et aider sa mère à règler le four dès qu'il y avait un rôti ou un gâteau à faire cuire. « J'apprends les centaines ! » proclamait-il à qui voulait l'entendre.
    Ils se passaient des cassettes et chantaient en choeur - Woodie Guthrie et Pete Seeger étaient venus s'ajouter au répertoire de Greenie - (...)




    " Greenie et Alan s'étaient mariés civilement, en prononçant des formules égalitaristes, rationnelles et modernes, mais en secret elle avait toujours eu un faible pour les voeux séculaires de l'église épiscopale et surtout cette merveilleuse formule : avec tout ce que je suis et tout ce que j'ai. En cet instant, votre bien aimé était la gravité même qui vous retenait, qui tenait le vaste monde tenait toute chose à la surface d'une sphère tournoyante. « Brûlez les ponts qu'importe les torpilles prends-moi, prends tout ! disiez-vous. Si ce n'est pas à toi ça n'a pas d'importance.» ( ...)

    8 commentaires
  • ...sister love aussi ! et  vous ?!
    UNKNOWN PARAMETER VALUE

    photo "human furniture" de David Blázquez

            
    et si nous passions une commande groupée...
    histoire de limiter les frais de port ?!


    23 commentaires
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    Une petite faim ?!

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    merveilleuse année 2010 !

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    photos©Voyelle

    avec des bulles de bonheur à faire éclater sans date limite !
    faites le plein !




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