• Je ne sais pas si cela donne envie d'y goûter mais ce que je sais c'est que c'est ma ronde culinaire pour  "Chrys" et son concours inside "Tout en rondeurs" 

     

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    photo©Voyelle

     

    T'as trouvé les ingrédients ?!

     



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  • Depuis le départ de son père, Henry, 13 ans vit seul avec Adèle sa mère qui souffre de dépression. Sans amis, passant beaucoup de temps devant la télé, fantasmant sur les filles et pas très bon en sport, il espère désespérément qu'il se passe quelque chose...si seulement les choses pouvaient être différentes, si seulement Adèle qu'il considère comme sa seule famille pouvait de nouveau être heureuse.

    « Est-ce que pour haïr quelqu'un comme elle semblait haïr mon père il ne fallait pas d'abord l'avoir beaucoup aimé ? Comme dans le jeu de bascule : plus bas descend l'un, plus haut monte l'autre.

    J'ai fini par conclure que ce n'était pas d'avoir perdu mon père qui avait brisé le coeur de ma mère - si c'est bien ce qui lui était arrivé -, c'était d'avoir perdu l'amour tout court - voyager en vendant du pop-corn et des hot-dogs, traverser l'Amérique en dansant, vêtue d'une robe scintillante et d'une petite culotte rouge. Avoir quelqu'un qui vous dise tous les jours que vous êtes belle ce que faisait mon père racontait-elle.

    Et quand tout cela disparaît, vous ressemblez à un de ses cochons d'argile sur lesquels pousse une plante qu'on oublie d'arroser. Un hamster qu'on oublie de nourrir.

    Ma mère était une plante qu'on n'avait pas arrosée depuis longtemps.» 

    Le temps d'un week-end, à la fin d'un été à Holton Mills, New Hampshire, la prise en otage volontaire d'Henry et de sa mère par un évadé de prison est l'événement attendu. Un huit clos poignant où le récit du jeune garçon nous révèle que le bonheur est fragile, et que sans le vouloir vraiment, la peur de perdre l'amour d'un être cher peut conduire à la trahison. 

     

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    Editions Philippe Rey - Janvier 2010

    Traduit de l'anglais (États-Unis) par Françoise Adelstain

     4ème de couverture

    Cette année 1987, une chaleur caniculaire s'abat sur la côte Est pendant le long week-end de Labor Day. Henry a treize ans, vit avec sa mère, ne supporte pas la nouvelle épouse de son père, aimerait s'améliorer au base-ball et commence à être obsédé par les filles. Jusque-là, rien que de très ordinaire, sauf que sa mère, elle, ne l’est pas. Encore jeune et jolie, Adele vit pratiquement retirée du monde et ne sort qu’en de rares circonstances. La rentrée des classes qui approche la contraint à conduire son fils acheter vêtements et fournitures au centre commercial. Et là, planté devant le présentoir des magazines où il essaye de feuilleter Playboy, Henry se heurte à Frank, ou plutôt Frank s’impose à Henry : Frank, un taulard évadé, condamné pour meurtre…

    Pendant quatre jours, le trio va vivre un surprenant huis-clos, chacun se révélant un peu plus au fil des heures. Et, vingt ans plus tard, avec émotion et humour, Henry révélera les secrets de ce long week-end qui lui a appris à grandir…

    Le p'tit + musical de Voyelle

    (...) « j'ai regardé Franck qui lavait encore la vaisselle. Jusqu'à cet instant je n'avais pas noté la différence. Il avait toujours le même visage, bien sûr, et le même corps, grand et musclé. Mais ses cheveux bruns grisonnants étaient devenus noirs. Teints. Et les sourcils aussi. Il avait un petit air de Johnny Cash. Dont je connaissais les disques depuis l'époque où Evelyn et Barry adorait Live from Folsom Prison, alors on l'écoutait tout le temps.»


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  • L'ouverture de la chasse, c'était début septembre non ?!  Je te rassure, je ne chasse pas. J'suis plutôt du genre à être le lapin de Chantal Goya si tu vois ce que je veux dire ! Je préfère chasser l'image, moi ! Chacun son truc !

    Chez "Les chasseurs d'objets", le thème de septembre, c'est le livre...Il était temps que je mette en ligne ma participation, hein !

     

    100_4067.JPGphoto©Voyelle

     

     



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  • Oui, j'ai osée affrontée ( j'suis courageuse, hein ?!) le terrifiant secret de Crickey Hall...même pas peur ! ( je mens parfois aussi !) Fantômes et phénomènes surnaturels te font vivre un suspens à t'en donner la chair de poule. Pas besoin de caqueter d'horreur, personne ne viendra te sauver. James Herbert a veillé à maintenir tout du long, et d'une main de maître, à ce que tu gardes les yeux ouverts jusqu'au petit matin ( J'exagère aussi... parfois ! mais tu ne t'endors pas non plus sereinement alors...) 

     

    9782352941934

    Editions Bragelonne -2008

     

    4ème de couverture

    Crickley Hall : une vieille demeure comme on n’en trouve que dans les régions reculées de l’Angleterre. Vaste et sinistre, elle a même l’air un peu menaçant.
    Lorsque Gabe et Eve Caleigh viennent s’y installer avec leurs deux petites filles, ils espèrent y trouver la paix, et tourner la page sur le terrible malheur qui a frappé leur famille.
    Mais quelque chose ne va pas… Bientôt des bruits inexplicables les arrachent au sommeil. Les enfants sont les seuls témoins d’étranges apparitions. Et, chaque matin, la porte de la cave est entrouverte alors qu’on l’avait fermée la veille.
    Cette maison est le dernier endroit que les Caleigh auraient dû choisir. L'horreur qui les y attend dépasse tout ce qu’ils pouvaient imaginer.
    Oserez-vous affronter le terrifiant secret de Crickley Hall ?

     

    Besoin de rester éveiller ?! en dehors du café ou tout autre excitant à portée de main, je te garantie que ce petit bijou littéraire fera l'affaire. Alors café ou Herbert ?!

     

    Les premiers chapitres : ICI

     

     


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    photo©Voyelle

     

    No limit...(dans le raisonnable, je suis imbattable !)

     

     


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  • 3 petits cochons et un grand méchant loup 3 petits carnets et un  sérial Crochet qui crochetait, qui crochetait...à s'en faire péter les chainettes ! Impossible de l'arrêter malgré quelques tentatives de deux courageuses aiguilles n°8, désireuses de protéger leurs pelotes de laine.

    Quant à ses cousines, Maille Coulée et Maille Serrée, bien connues des services "Anti-crochets", elles s'amusaient de le voir monter,centimètres par centimètres, une suite sans fin.

     

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    photo©Voyelle

     

     


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