• Dans la série "Hummmmm, croque-moi, je suis bon", je vous présente les croquants classiques aux amandes. Les biscuits préférés de la belle du lutin. Ayant passé commande pour son prochain séjour en Normandie, j'ai devancé l'appel de sa gourmandise en lui en envoyant pour son anniversaire. J'ai obtenu la mention "super bon" !   :)))))))))

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    photo©Voyelle

    La recette est extraite d'un livre, à la ronde gourmande, offert par le lutin et sa belle à Nowel. ( Si la recette vous intéresse, dites-le moi, je ferai en sorte de vous satisfaire en vous l'envoyant par mail )

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    photo©éditions Larousse

     


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    photos©Voyelle - janvier 2013

    " Que le soleil est beau quand tout frais il se lève,
    Comme une explosion nous lançant son bonjour!
    — Bienheureux celui-là qui peut avec amour
    Saluer son coucher plus glorieux qu'un rêve..."

    Charles Baudelaire - Le coucher du soleil

    pour l'INSTANT.T de Nikit@


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    dessin © z   -  photo©Voyelle


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    photos©Voyelle - janvier 2013


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  • Sur une invitation de la ville, la visite du chantier du futur Musée des Pêcheries, qui devrait ouvrir ses portes fin 2013, m'a donné des envies de grandeur...Est-ce bien utile de vous dire que le zoom était de sortie ?! 

    Merci à la lumière naturelle pour son humble participation !

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      photos©Voyelle

    Le belvédère qui chapeaute le tout, offre une vue superbe en circulaire sur la ville, les falaises et la grande bleue.

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    photos©Voyelle

    Les casques verts sont priés de quitter le chantier avant la fermeture du lieu sous peine d'y dormir contre vents et marées.

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    photos©Voyelle

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    Bonus de Voyelle


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  • Julie Otsuka s'est inspirée de faits réels, elle nous livre avec force et poésie, le destin d'immigrantes japonaises. Une page de l'histoire méconnue et portée par un choeur de NOUS qui donne au récit un rythme incantatoire envoutant. J'ai très apprécié la musicalité dans l'écriture qui penche inéxorablement vers une envie de lecture à voix haute...

    En 1920, de très jeunes femmes mariées par correspondance, dont la plupart n'étaient pas encore dans l'âge de la puberté, quitte le japon vers l'amérique pour rejoindre leurs époux-compatriotes.  « Sur le bateau nous étions presque toutes vierges. Nous avions de longs cheveux noirs, de larges pieds plats et nous n’étions pas très grandes. Certaines d’entre nous n’avaient mangé toute leur vie durant que du gruau de riz et leurs jambes étaient arquées, certaines n’avaient que quatorze ans et c’étaient encore des petites filles »… Promises à une vie meilleure, elles vont en réalité se rendre compte, dès leur descente du bateau, que leurs maris ont mentis sur leur physique puis sur leur condition sociale. En guise de rêve américain, elles vont connaitre une vie de labeur dans les exploitations agricoles et subir la violence de leurs maris, l'humiliation des patrons, l'hostilité des américains et la colère de leurs enfants face à une servitude qu'ils ne comprennent pas. Une vie d'exilée bancale et précaire où la culture japonaise a bien du mal à résister face à un quotidien éprouvant. Quand le japon déclare la guerre à l'amérique, sous prétexte d'être des ennemis, espions, saboteurs, tous les immigrants d'origine japonaise, citoyens américains ou pas, sont forcés de quitter le sol américain. " Certains des nôtres sont partis en pleurant. D'autres en chantant.L'une avait la main plaquée sur la bouche parce qu'elle avait le fou rire. Certains étaient ivres. D'autres sont partis en silence tête baissée, pleins de gêne et de honte...la plupart des nôtres sont partis en hâte. Beaucoup d'entre-nous par désespoir. Quelques-unes remplies de dégoût,sans le moindre désir de revenir" Certains seront internés dans des centres de rétentions jusqu'à la fin des hostilités...jusqu'à l'oubli même de leur passage, de leur présence.

    En première page, on lit :" Certains d'entre-eux laissèrent un nom qu'on cite encore avec éloge. D'autres n'ont laissé aucun souvenir et ont disparu comme s'ils n'avaient pas existé. Ils sont comme n'ayant jamais été et de même leurs enfants après eux" L'ECCLESIASTE, 44 : 8-9 ... Sans aller plus loin qu'il ne faut, je trouve que cela résume très bien le dernier chapitre du livre. 

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    Editions Phébus - 2012

    Traduit de l'anglais (États-Unis) par Carine Chichereau

    4ème de couverture

    L’écriture de Julie Otsuka est puissante, poétique, incantatoire. Les voix sont nombreuses et passionnées. La musique sublime, entêtante et douloureuse. Les visages, les voix, les images, les vies que l’auteur décrit sont ceux de ces Japonaises qui ont quitté leur pays au début du XXe siècle pour épouser aux États-Unis un homme qu’elles n’ont pas choisi.
    C’est après une éprouvante traversée de l’océan Pacifique qu’elles rencontrent pour la première fois celui pour lequel elles ont tout abandonné. Celui dont elles ont tant rêvé. Celui qui va tant les décevoir.
    À la façon d’un chœur antique, leurs voix se lèvent et racontent leur misérable vie d’exilées… leur nuit de noces, souvent brutale, leurs rudes journées de travail, leur combat pour apprivoiser une langue inconnue, l’humiliation venue des Blancs, le rejet par leur progéniture de leur patrimoine et de leur histoire… Une véritable clameur jusqu’au silence de la guerre. Et l’oubli.

    PRIX FEMINA ÉTRANGER 2012


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