• Quand le cadre se prête à un diner riche en goûts et en odeurs...une première pour moi car contrairement à monsieur Voyelle, je n'ai jamais pris de cours d'Oenologie.

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    Pour la petite histoire : Le Château de Sassetôt doit sa célébrité avec le séjour de l'impératrice Elisabeth d'Autriche durant l'été 1875 

    Dans le hall...

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    Et si l'on passait à table ?! j'en tremble tellement j'ai faim ! ( c'est tout ce que j'ai trouvé pour valider mon flou ZOOMique qui va perdurer tout au long du repas...soupir !!!!!!!! mais j'ai évité le flash alors hein, bon, héééééé ! ) composé de 5 plats et de 5 vins. Un accord parfait  et je peux même te dire que les papilles ont flirté sans pudeur avec les zigomatiques. J'adoooooore !

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    Au programme : des verbes ! Sentir, goûter, chercher les arômes, les épices, en accord avec les vins et les plats...Pas facile mais étonnant, surprenant même parfois. Une expérience qui donne une envie de remake.

    Harmonie des vins et des mets

    Menu élaboré par le restaurant "les 3 roses" et "Ludivigne"

    Foie gras surprise aux pommes ( granite et golden) sur brioche et quelques grains de sucre pétillant pour rappeler le pétillant du Gaillac méthode ancestrale, Domaine d'Escausses, en Claires Trilles

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    Mariné de saumon, mousse de mangue et d'ananas avec coriandre fraîche, pignon de pin, combava (citron asiatique) et un Coteaux de l'Aubance 2011, Domaine de Montgilet

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    Le canard se déchaîne avec son craquant de miel, sauce soja, orange sanguine et pain d'épice et soja frais et un Faugères 2011, Château des Estanilles, Inverso Rosé

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    Pavé de cerf façon parmentier, coulis de fruits rouges et rose, servit avec un Maranges 2011, Domaine Chevrot, sur le Chêne

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    Oups, j'ai oublir de prendre une photo du dessert...Excouuuuuziii moa !  donc c'était un mille feuilles 3 sensations avec un craquant de chocolat, de la crème chantilly à la menthe, et glace à la fraise. La fraise que l'on retrouve dans le pétillant subtile Bugey Cerdon, Domaine Bernard Rondeau, Méthode ancestrale


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    Pour finir ?! Et bien, après le repas, je me suis escapader à l'extérieur pour un mitraillage nocturne...

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    photos©Voyelle

    pour l'INSTANT.T de Nikit@ ... comme une évidence !

     


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  • Sous la cloche, savez quoi qu'il y a ?! Un zeste, un soupçon...une part de gâteau qui attend d'être dévoré. La farine de châtaigne, je l'utilise parfois dans la préparation de la pâte à pain,  incorporée dans une béchamel, c'est pas mal non plus. Mais dans le gâteau au yaourt , c'est incontournable pour moi...

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    photo©Voyelle

    Pour info, il faut compter 5€ à 6 € les 500g en magasin bio. Certes, la farine de châtaigne est couteuse mais il en faut peu dans les recettes et l'utiliser sans la mélanger avec une autre farine est impossible...sinon c'est immangeable. 

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    photo©Voyelle

    Voilà ma recette...

    1 pot de yaourt ( Home Made pour moi )    

    2 pots de sucre

    4 oeufs

    1 pot + 1/2 de farine blanche T65

    1pot + 1/2 de farine de chataîgne

    1 sachet de levure à gâteau

    1/2 pot d'huile de tournesol

    Préchauffez le four à 180°. Dans un saladier battre les oeufs en omelette, ajoutez le yaourt et le sucre. Mélangez bien. Dans un autre saladier, fouettez ensemble les 2 farines + le sachet de levure puis ajoutez -les à votre préparation. Mélangez-bien. terminez par l'huile et mélangez-bien de nouveau afin d'obtenir une fluide pâte.

    Beurrez un moule rond et versez votre préparation. Enfournez pour 30 à 40 minutes de cuisson. Surveillez la cuisson car le dessus peu brunir assez vite et le gâteau n'est pas encore cuit en son centre. Déposez une feuille d'alu dessus pour poursuivre la cuisson. Le gâteau est cuit quand la lame d'un couteau enfoncé au coeur ressort sèche. 

    Mon top des tops gourmand pour accompagner, UN CHOCOLAT NOISETTE mais un thé fera largement l'affaire !

    Bonus de Voyelle et...joli week-end à vous !


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    Etude à l'Ecole d'Arts Plastiques de Fécamp - dessin © Z - photo © Voyelle


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  • Au delà d'un intérêt pour les indiens, on ne peut pas rester insensible à l'écriture de Louise Erdrich. Dans la décapotable rouge, les histoires sont simples, la prose exaltante est envoutante, et la réalité joue merveilleusement bien avec le spirituel et la poésie. Les personnages sont tout aussi fascinant que séduisant. Des années 1900 à nos jours, Louise Erdrich entremêle des générations de familles amérindiennes et européennes (l'héritage de ses origines) dans une région chargé d'histoire, le Dakota du Nord.

    J'ai retrouvé avec grand plaisir la plume virtuose de Louise Erdrich, déjà très appréciée avec la lecture de "La malédiction des Colombes".

    Une de ses nouvelles "Les meilleurs pêcheurs du monde"  a remporté le concours Nelson fiction Algren qui deviendra le 1er chapitre de son roman "Love Medicine"

    A paraître pour la fin 2013, un tome 2 de ses nouvelles au titre très intriguant..."Femme nue jouant Chopin". 

    09e3f470-34c7-11e2-b490-7faf20e02d02-200x300

    Editions Albin Michel - 2012 - Nouvelles choisies et inédites 1998 - 2008

    Traduites de l'américain par Isabelle Reinharez

    4ème de couverture

    Dans l’œuvre de Louise Erdrich, le rêve peut surgir du quotidien, le comique tourner au tragique, la violence et la beauté envahir tout à coup un paysage banal. 
    Rassemblées pour la première fois en deux volumes (La décapotable rouge et Femme nue jouant Chopin, à paraître prochainement), ces nouvelles publiées dans des revues littéraires et des magazines américains sont marquées par l’imaginaire sensuel et fertile d’un écrivain singulier.
    On y retrouve la genèse de ce qui a constitué, au fil des livres, l’univers de Louise Erdrich, de Love Medicine à La Malédiction des Colombes : le Dakota du Nord, le monde indien, un réalisme à la fois magique et poétique, la passion secrète qui habite ses personnages et la puissance d’évocation de ses histoires.

     


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    "Accordé...accordé...accordéon"  ( travail à la pointe) dessin © Z - photos©Voyelle


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