•  photos©Voyelle

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (2)

    Les Treize vents à Herqueville ( La commune d'Herqueville est située au nord-ouest de la presqu'île du Cotentin, entre le Nez de Jobourg et le Cap de Flamanville, à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Cherbourg ) point de vue superbe où nous avons pique-déjeuner. @ retenir, le changement de météo ! Surprenant ! A notre arrivée nous étions dans la brume, le temps de sortir le miam-miam, la brume s'est dégagée et a fait place au soleil...un cadeau du ciel :))

    Et le temps de cascrouter  notre pain/sardines et oeufs durs, la brume est revenue et une pluie fine s'est mise à tomber. Le temps écoulé ?! même pas 1 heure !

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (2)

     

    Sans trop savoir où ce p'tit chemin nous emmènerait, nous avons reporté sa découverte en 2016.

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (2)

     

    z'avons eu de la visite pendant la pause. Faute de pain dur, Ils ont eu quelques croutons de pain frais. Sympa les touristes, non ?

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (2)

     

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (2)

     

     

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (2)

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (2)


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  • photos©Voyelle

     

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (1)

     

    Nous voilà reviendus d'un séjour merveilleux "au bout du monde". Je nous ai rapporté un pot pourri. Un précieux trésor que mes yeux contemplent chaque jour. Son écrin est un pot de confiture de mûres, vidé à coups de cuillère. Il nous attendait à notre arrivée au gîte "La Boulangerie"de La Ferme du Gros Mont. Du Home Made à s'en pourlécher les moustaches. 

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (1)

     

    Et pour parfaire la compo, je l'ai lesté d'un galet , histoire qu'il ne s'envole pas car dedans s'est lové "une part" ( emprunté @ Thoma Vinau) de grand vent. Pour l'instant, il dort encore mais - car il y a souvent un mais qui se glisse entre mes mots - ne tentons pas le diable, remettons vite le couvercle avant que ça tornadise dans la baraque.

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (1)

     

    Vouiiiiiiittt ! Voilà, c'est fait ! Je vais pouvoir passer à autre chose...

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (1)

     

    Passons au zoom de là où nous étions. Quelques indices pointés, vous donneront peut-être envie d'en savoir plus mais - car il y a souvent un 2ème mais qui se glisse entre mes mots - pas aujourd'hui...c'est que je suis encore très occupée jusqu'au 15 juin. Promis, je ne mettrai pas 3 mois à revenir par ici. LOL !

    Un p'tit coin de paradis "La Hague" (1)

    Billets @ suivre...dans le temps ( liste non exhaustive, pas forcément dans l'ordre et titres modulables) :

    Baie des Treize vents à Herqueville

    Le Hameau de la Roche

    Jardin en hommage à Jacques Prévert ( bien-être assuré ! )

    Phare de Goury

    Sémaphore, jour de grand vent

    La basse cour de la Ferme du Gros Mont ( avec vidéos si je maitrise bien la technique)

    Paul et ses soeurs Françoise et Marie-Jeanne ( photos version BD ?!  Perhaps !)

    Coucher de soleil

    La Ferme du Gros mont et son point de vue

    Le manoir du Tourp

    A boire et à manger

    La faune et la flore

    Les belles des champs

    L'océan Boulevard ( nommé ainsi par Didier Decoin dans "Avec vue sur la mer"  )

    Auderville...et je crois bien que c'est tout :))


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  • Je partage avec vous, le temps d'un billet pas plus , la douceur plaqué or que mon amie Lise nous a ramené de Nouvelle-Zélande. Un "Précieux" qui se déguste parcimonieusement. Un miel à la senteur florale très perceptible et mielleusement riche en bouche.

    Bons baisers de Nouvelle-Zélande

    Piqûre de rappel : Les abeilles de Nouvelle-Zélande sont aussi travailleuses que nos butineuses françaises.

    La particularité de ce Honey est qu'il est issu d'un butinage de Tawari Flower, et voilà pour  la petite histoire : Tawari (Les brexioides Ixerba) est un arbre endémique de Nouvelle-Zélande (qui se trouve nulle part ailleurs dans le monde). "Tawari" est un nom maori où le "a" se prononce comme le «a» dans «l'art». L'arbre pousse jusqu'à environ 15 mètres de hauteur. La floraison est un beau spectacle avec des fleurs parfaitement formées en grappes très symétriques contrastées sur fond vert foncé des feuilles disposées de façon similaire. Les fleurs étaient très prisés par les Maoris qui les utilisaient pour des colliers et parures lors d'occasions festives. ( source du net )

    Bons baisers de Nouvelle-Zélande

    Et comme j'ai été très sage, j'ai eu le droit à un dépliant du Hobbit village, lieu magistralement créé pour le tournage " Le seigneur des anneaux" et "Le Hobbit". Ah, Tolkien et son chez d'oeuvre !

    Pour info, Bilbo s'excuse, il n'était pas là le jour où mon amie est passée...l'était parti cueillir des champignons avec Gandalf sinon c'est certain, il n'aurait pas manqué de m'écrire quelques mots sur la carte postale. Cliquez sur les photos si vous voulez voir The Hobbiton en grand.

     

    Bons baisers de Nouvelle-Zélande

    Bons baisers de Nouvelle-Zélande

    Les derniers mots de la fin : merci ma Lise !


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  • Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    " Dans ma maison vous viendrez

    D'ailleurs ce n'est pas ma maison
    Je ne sais pas à qui elle est
    Je suis entré comme ça un jour
    Il n'y avait personne
    Seulement des piments rouges accrochés au mur blanc
    Je suis resté longtemps dans cette maison
    Personne n'est venu
    Mais tous les jours et tous les jours
    Je vous ai attendu..."
    ( Extrait "Dans ma maison" de Prévert )

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Nous sommes rentrés dans la maison de Prévert, nous l'avons attendu...en vain. La porte grande ouverte, son silence nous accueille le coeur sur la main...

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Sur la cheminée, une émouvante photo de Jacques, sa femme Janine et leur fille Michèle dite Minette.  

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Quand Picasso dessine l'artisan du langage, le dialoguiste " joueur de mots".

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    La chambre démeublée est devenu un espace dédié aux visiteurs, le temps d'écrire sur un cahier, un cadavre exquis façon Prévert. Nom, adjectif, verbe, complément d'objet ; les jeux sont faits au bord de la fenêtre où la lumière se projette sur les pages soulignant de part en part, les mots papiers.

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Sur la terrasse trône un curieux homo-sapien sexué, assis sur un cuirassé, non, c'est pas ça...c'est quoi alors ?!  Un ventru dominateur écrasant de sa superbe ?!

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Puis, j'suis descendue dans le jardin...après la diffusion d'un documentaire dans la chambre d'amis.

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    Dans le jardin de Prévert, les feuilles mortes se ramassent à la main. Je me suis donnée pour mission d'en déposer trois ( une pour le poète, une pour sa femme et une pour sa fille ) à sa dernière demeure tout en le remerciant d'être présent dans ma vie d'avant, d'aujourd'hui et de demain.. 

    Omonville-La-Petite...la maison de  Prévert

    En savoir plus sur le beau travail de mémoire orchestré par la petite fille d'un poète pas mort, Eugénie Bachelot-Prévert : Fatras succession


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  • Omonville-La-Petite...sur le chemin qui mène jusqu'à la maison de Jacques Prévert ( prochain billet de nos vacances ), nous avons croisé "Azalée", ainsi nommée en souvenir d'une de ses ancêtres de mon enfance figurante dans "Le manège enchanté". Appelle-moi "Margote"

    Bisous de vache

    Bisous de vache

    Bisous de vache


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  • Auderville...Paul, le bienheureux

    Notre rencontre avec Paul et ses soeurs, Françoise et Marie-Jeanne, a duré deux heures. Nous n'étions pas venus les bras ballants, ni les mains vides. Des petites douceurs se sont glissés dans un sac à l'effigie d'une belle vache normande. Paul n'a pas voulu accepter notre don du coeur. J'ai insisté cordialement. Paul a posé une condition. Nous devions nous-même déposer  nos offrandes sur la table de la salle à manger. L'invitation était claire et ce fut à notre tour d'être gêné. Nous ne voulions pas les déranger dans leur quotidien. Paul a été inflexible. Soit...mais quand même, hein. Cependant, je ne vous cache pas ma joie de découvrir par la suite que nous étions bien sur sa liste de sympathisants visiteurs. D'autant plus que Paul ne nous accueillait pas seulement chez lui mais chez ses soeurs également.

    Il m'arrive d'être incapable de contrôler le degré d'intensité de mes émotions quand la joie me submerge. Car c'est bien de cela qu'il s'agissait, de la joie d'être accueilli par Paul qui ne nous connaissait ni d'Eve ni d'Adam.  Impulsive, je suis, impulsive, je resterai...c'est ainsi.  Je lui ai donc confié que j'aimais l'homme qu'il était. Et avec quel plaisir, je l'ai découvert à travers ses écrits et le film de Rémi Maugier "Paul dans sa vie" . (Merci ma Lise ! ) Un homme simple et bon qui a mené sa vie d'agriculteur, comme ses ancêtres, avec l'aide de ses soeurs et pendant presque toute une vie.  Paul est émouvant, drôle, malicieux. Il est un être vrai, fidèle à la réalité de la vie...à celle qu'il s'est choisi. Françoise et Marie-Jeanne, effacées, discrètes, au début de notre visite, certainement par égard pour Paul, sont venues nous rejoindre à la table. J'étais ravie car ce qu'elles ne savaient pas encore, c'est que nous étions venus les voir également... avec des petites douceurs rien que pour elles.

    Auderville...Paul, le bienheureux

    Paul a accepté spontanément de me dédicacer sa biographie "Paul, dans les pas du père"  en se demandant toutefois ce qu'il pourrait bien écrire. Son ton naturel et spontané m'a fait rire.  Et puis tout simplement et dans une belle concentration, il a trouvé les mots.Il m'a tendu le livre en me demandant si ce qu'il avait noté me convenait. J'ai souri, lu et ce n'est pas sans émotion que je lui ai répondu : Merci, Paul !

    Auderville...Paul, le bienheureux

    Ses mots sont miens et je ne vous en dévoilerai pas une once de voyelles ni de consonnes. Désolée...c'est ainsi !


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