• L'épée de la providence est la suite du premier tome de la saga du sorceleur " Le dernier voeu" édité en 2003 chez les excellentes éditions  Bragelonne. Ah, il y avait un tome 1 ?! Je n'ai pas fait attention quand je l'ai pris sur les rayonnages. J'étais trop en manque de fantastique, ce qui ne m'arrive jamais pour le chocolat, j'en ai toujours dans le placard, quitte à attaquer férocement la tablette spécial pâtisserie. Eh, oui, j'en suis arrivé là.

    Bref !

    Ce qu'il faut savoir du héros surtout quand on a pas lu le 1er tome ( comme moi ! )

    "Geralt de Riv est un personnage étrange, une bizarrerie de la nature, un mutant qui, grâce à la magie et à un long entraînement, mais aussi grâce à un mystérieux élixir, est devenu un meurtrier parfait. Ses cheveux blancs, ses yeux nyctalopes et son manteau noir effrayent et fascinent. Il parcourt des contrées pittoresques en gagnant sa vie comme chasseur de monstres. En ces temps obscurs, ogres, goules et vampires pullulent, et les magiciens sont des manipulateurs experts. Contre ces menaces, il faut un tueur à gages à la hauteur. Car Geralt est plus qu’un guerrier ou un mage. C’est un Sorceleur. Il est unique.
    Au cours de ses aventures, il rencontrera une autoritaire mais généreuse prêtresse, un troubadour paillard au grand cœur, et une magicienne capricieuse aux charmes vénéneux. Amis d’un jour, amours d'une nuit.
    Mais au bout de sa quête, peut-être pourra-t-il prononcer son dernier vœu : retrouver son humanité perdue… "
    ( résumé de l'éditeur )

    Suite au résumé du premier tome que je n'ai pas lu ( je radote ! ) et qui  explique sûrement que j'ai eu du mal à m'accrocher au tome 2 et ce jusqu'à la page 120 ( pas tout à fait la moitié du livre ), j'ai bien failli refermer le livre.    
    Heureusement que j'ai poursuivi car le rythme, l'action, le suspens que j'aime tant dans le fantastique se sont vite dévoilés captivant. Ouf !  A cela ajoutons, l'humour caustique !  
    Même si ce n'est pas ce que j'ai préféré jusqu'ici dans mes lectures de fantasy,  j'aimerai poursuivre sachant que je suis resté sur ma faim à la fin du tome. C'est plutôt un très bon signe non ?! 

    Voici donc la liste regroupant  les tomes qui donnent suite à une saga qui ne manque pas d'intérêt , tout compte fait :

    Le Sang des elfes ( novembre 2008 )  
    Le temps du mépris ( avril 2009)
    Le Baptême du feu
    La Tour de l'hirondelle 
    La Dame du lac



    Editions Bragelonne - 2008

    4ème de couverture
    Geralt de Riv, le mutant aux cheveux d'albâtre, n'en a pas fini avec sa vie errante de tueur de monstres légendaires. Fidèle aux règles de la corporation maudite des sorceleurs et à l'enseignement qui lui a été prodigué, Geralt assume sa mission sans faillir dans un monde hostile et corrompu qui ne laisse aucune place à l'espoir. Mais la rencontre avec la petite Ciri, l'Enfant élue, va donner un sens nouveau à l'existence de ce héros solitaire. Geralt cessera-t-il enfin de fuir devant la mort pour affronter la providence et percer à jour son véritable destin ?

    A propos de l'auteur

    Andrzej Sapkowski est né en Pologne en 1948. Il a remporté un succès spectaculaire avec le cycle consacré au sorceleur. Best-seller en Pologne, ses ventes y dépassent celles de Stephen King ou Michael Crichton. Traduit en neuf langues, dont l'anglais chez le prestigieux éditeur londonien Gollancz, il a vendu 1,5 million d'exemplaires dans toute l'Europe. Les aventures de Geralt de Riv ont été adaptées au cinéma, en série télé, en BD, en jeu de rôle et en jeu vidéo sous le titre The Witcher.


    extrait sur le site des Editions de Bragelonne
    là 

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  • La tendresse, la grâce et la profondeur des mots de Muriel Barbery m'ont touché en plein coeur. Je n'ai pu retenir des larmes parfois tellement c'était...BEAU ! et la fin poignante a laissé libre cours à un flot incontrolable. Une belle philosophie de la vie qui sonne juste !  Une gourmandise pas toujours sucrée mais où l'amertume devient un véritable délice ! L'élégance et l'incroyable légereté de l'être dans toute sa splendeur ! ( pour certains personnages, pas tous ! )

    « Mme Michel, elle a l'élégance du hérisson ; à l'extérieur elle est bardée de piquants, une vrai forteresse mais j'ai l'intuition qu'à l'intérieur, elle est aussi simplement raffinée que les hérissons, qui sont des petites bêtes faussement indolentes, farouchement solitaires et terriblement élégantes » ( Pensée n°9 de Paloma p.153 ) 


              



    4ème de couverture

    « Je m’appelle Renée, j’ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bougeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l’idée que l’on se fait des concierges qu’il ne viendrait à l’idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants.


    Je m’appelle Paloma, j’ai douze ans, j’habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c’est le bocal à poissons, la vacuité et l’ineptie de l’existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C’est pour ça que j’ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. »

    Muriel Barbery est née en 1969. L’élégance du hérisson est son deuxième roman. Le précédent, Une gourmandise, est traduit en douze langues.


    EXTRAITS CHOISIS


    Pensée profonde n°9 ( Paloma ) p.154 
    (...) C'est la première fois que je rencontre quelqu'un qui cherche les gens et qui voit au-delà. ça peut paraître trivial mais je crois quand même que c'est profond.  Nous ne voyons jamais au-delà de nos certitudes et, plus grave encore, nous avons renoncé à la rencontre, nous ne faisons que nous rencontrer nous-mêmes sans nous connaître dans ces miroirs permanents. Si nous nous en rendions compte, si nous prenions conscience du fait que nous ne regardions jamais que nous-même en l'autre, que nous sommes seuls dans le désert, nous deviendrions fous. Quand ma mère offre des macarons de chez Ladurée à Mme Broglie elle se raconte à elle-même l'histoire de sa vie et ne fait que grignoter sa propre saveur ; quand papa boit son café et lit son journal, il se contemple dans une glace tendance méthode Coué ; quand Colombe parle des conférences de Marian, elle déblatère sur son propre reflet et quand les gens passent devant la concierge, ils ne voient que le vide parce que ce n'est pas eux.
    Moi, je supplie le sort de m'accorder la chance de voir au-delà de moi-même et de rencontrer quelqu'un.
     


    Désolation des révoltes mongoles  ( Renée) p.94 
    (...) Le rituel du thé cette reconduction précise des mêmes gestes et de la même dégustation, cette accession à des sensations simples authentiques et raffinées, cette licence donnée à chacun, à peu de frais, de devenir un aristocrate du goût parce que le thé est la boisson des riches comme elle est celle des pauvres, le rituel du thé, donc, a cette vertu extraordinaire d'introduire dans l'absurdité de nos vies une brèche d'harmonie sereine. Oui, l'univers conspire à la vacuité, les âmes perdues pleurent la beauté, l'insignifiance nous encercle. Alors, buvons une tasse de thé. Le silence se fait, on entend le vent qui souffle au-dehors, les feuilles d'automne bruissent et s'envolent, le chat dort dans une chaude lumière. Et, dans chaque gorgée, se sublime le temps.

                                      "L'art, c'est l'émotion sans le désir" 

                                "L'art c'est la vie, mais sur un autre rythme"

           


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  • "Les récits oubliés" d'Elsa Morante comporte 4 sections « Jeu secret », « Récits dispersés », « Anecdotes enfantines », « Un récit retrouvé », auquel s'ajoute un « Appendice ».
    Quarante-six récits qu'elle écrit à l'âge de trente ans, un mélange de contes et de nouvelles au décor souvent baroque et où l'écriture subtile, amère, cruelle ou drôle nous plonge dans un univers fantasmagorique.  La solitude, la jalousie sont les fissures qui plongent les personnages dans des abîmes réels ou imaginaires, emportant avec eux  les êtres aimés ou désirés.  Merveilleusement bien écrit  ! 


    Elsa Morante (1912 - 1985) est également l'auteur du roman "la storia" ( 1974)  adapté au cinéma en 1986 par Luigi Comencini avec Claudia Cardinale et Lambert  Wilson




    Traduit de l'italien par Sophie Royère,
    Editions  Verdier - 2009


    4ème de couverture

    Ce volume rassemble une cinquantaine de récits inédits publiés par Elsa Morante entre 1939 et 1941 alors qu’elle n’avait pas trente ans. Écartés des volumes dans lesquels la romancière avait réuni certains de ses récits (Le Jeu secret et Le châle andalou), dispersés dans des journaux aujourd’hui introuvables ou sommeillant parmi les papiers qu’elle laissa à sa mort, ces pépites attendaient leur heure. Il fallait les tirer de l’oubli et restituer leur éclat sauvage.
    Des personnages singuliers que la vie rend fous d’amour ou de tristesse, des histoires qui se brisent comme des verres après la fête, des rires d’enfant, des chiens peureux, des âmes, des fidélités à toute épreuve : les courts récits d’Elsa Morante tiennent de la fable et de l’anecdote, du réalisme et du rêve, ils chatoient dans la lumière d’un jour qui contiendrait les couleurs et les douleurs du couchant. Une sensibilité merveilleuse les traverse tout entiers. Chacun d’entre eux ouvre un monde et referme un destin.



    Quelques courts extraits des récits que j'ai particulièrement aimé :

    "Telle est la loi : certains doivent suer et écorcher leurs pieds pour atteindre la Grâce, éraillant leurs voix à force de l'invoquer, mais en vain car elle les ignore. D'autres au contraire oublieux et changeants comme feuilles sur l'eau qui ne s'en soucient pas et la repoussent même, sont constamment veillés et embrassés par elle, et ils la retrouvent à leur chevet le jour de leur mort... "
    Une frivole anecdote sur la Grâce 

    "Dormait-il ? Le voyageur de commerce m'expliqua qu'un véritable sommeil ne lui était jamais accordé durant la semaine; mais le dimanche, jour de repos il ne voyageait pas, et du matin au soir il restait au lit. C'est là que sa femme lui apportait son déjeuner dominical ; là, dans les draps frais et moelleux, il dormait dix ou douze heures, comme plongé dans un bain généreux..." Le voyageur de commerce

    "Il n'est pas sage du tout de laisser seuls à la maison une grand-mère décrépite et son petit-fils dont les dents commencent à peine à remuer. La culpabilité de ce qui peut arriver ne retombera pas sur eux mais sur les autres..." Innocence

    "Pendant que le professeur nous expliquait l'Histoire et se mirait dans les fantômes des siècles passés mes camarades m'écrivaient des lettres d'amour. Je recevais des feuillets ardents pliés en forme de barque ou d'aéroplane où on lisait ces mots « Puella, ego amo te », ou bien un sonnet qui disait :
    Morante, à la pâle et douce fleur pareille,
    Quand je te contemple sise sur ton banc,
    Mon âme se révèle dans le soleil.
    Ce derniers vers était un plagiat, extrait tel quel d'un sonnet de Giosuè Carducci. " Lettres d'amours


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  • Le charme de la saga de Stéphenie Meyer ne s'explique pas ! ça fonctionne tout simplement, l'intrigue reste mystérieuse et envoûtante tout comme le couple que forme les deux héros de l'histoire, Bella et Edward.  Retrouver  son âme fleur bleue n'est pas déplaisant si ce n'est que parfois Stéphanie Meyer traine sur certains passages romantiques...le désir, l'interdit, le dangereux...etc, etc.... elle joue avec mes nerfs !  J'aurai préféré que l'affaire soit bouclée dès le premier tome !
    Faut dire aussi que je ne ne suis plus une ado depuis une trentaine d'années, alors forcément le côté " je t'aime, mon amour sur la plage à mourir"...J'exagère!
    Et pourtant,  j'ai aimé ce troisième et avant dernier volet de la saga Meyer, un peu plus étoffé dans le fantastique.  



    Stephen King dont je suis une grande fan,  dit de Stéphanie Meyer qu'elle ne sait pas écrire. Oups !  Et si on aime, alors ? ça veut dire qu'on lit n'importe quoi ? ( pas sympa, pour les millions d'ados qui aiment ! )
    En tout cas, moi, je m'en fous ! Je lis ce que je veux et c'est tant mieux si le soir, les livres de Stéphenie Meyer prennent le pouvoir sous ma couette. J'aime, point final !



    Editions hachette jeunesse - 2007

    4ème de couverture
    Alors que Seattle est ravagé par un enchaînement de mystérieux meurtres, et qu'une vampire malveillante continue sa quête de vengeance, Bella se retrouve à
    nouveau encerclée par le danger. Au milieu de tout ça, elle est forcée de choisir entre son amour pour Edward et son amitié pour Jacob, sachant que sa décision a le potentiel d'enflammer l'éternel combat entre les vampires et les loups-garous. Sa graduation approchant à grand pas, Bella a une décision de plus à prendre : la vie ou la mort.

    " Deux futurs, deux âmes soeurs... C'était trop pour une seule personne. Je compris que ce n'était pas Edward et Jacob que j'avais essayé de réconcilier, c'étaient les deux parts de moi-même, la Bella d'Edward et la Bella de Jacob. Malheureusement, elles ne pouvaient coexister et j'avais eu tort de tenter de les y contraindre. A présent, je ne doute pas de ce que je désire, ni de ce dont j'ai besoin... ni de ce que je vais faire, là , maintenant. "

    Mon prochain tiercé "lecture"... dans le désordre !

    "L'élégance du hérisson" de Muriel Barbery
    "Récits oubliés"
    d'Elsa Morente
    "Révélation" de Stéphanie Meyer ( yes !)
    "Refaire le monde"
    de Julia Glass


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  • Dernier plan du film "Autant en emporte le vent"

    « Demain est un autre jour »
    est l'ultime et célèbre réplique du film " Autant en emporte le vent" (1939) réalisé par Victor Fleming, Sam Wood, George Cukor et à partir du roman de Margaret Mitchells ( 1936 ). Elle nous laisse espérer une suite qui sera écrite 55 ans plus tard par Alexandra Ripley "Scarlett". Aucun réalisateur à ce jour n'a tenté de s'attaquer à ce monument littéraire de 852 pages.  Pour ma part, j'aime garder le souvenir de Vivien Leigh et de Clark Gable dans les rôles de "Scarlett O'Hara" et de "Reth Butler", d'ailleurs ils se sont imposés tout naturellement pendant ma lecture.




    L'histoire de "Scarlett" se déroule principalement en Irlande, sur la terre de ses ancêtres Les O'Hara.  Comme je vous l'ai dit dans un billet précédent, l'on découvre l'origine de Tara, lieu mythique de l'Irlande (
    La colline de Tara ), les traditions, la culture et la dure vie des paysans irlandais de l'époque (1880) Après une escale à Charleston pour tenter de reconquérir son beau brun ténébreux de mari, en vain, elle  part en Irlande, accompagné de son oncle Colum, pour découvrir la famille de son père, ses nombreux cousins et cousines...Elle s'adapte très vite et devient une adepte de la gigue, elle qui aime tellement danser. Elle troque ses toilettes somptueuses contre le costume traditionnel, et part la même occasion, se sépare à jamais du corset qui l'empêchait de respirer. D'ailleurs elle n'en a pas vraiment besoin, sa taille restera fine malgré son grand appétit. Et manger, elle aime ça, Scarlett ! 
    Nous l'avons connu pendant la "Civil war" ! et bien en Irlande, ce n'est guère mieux. Les nationalistes irlandais considérant que c'est délibérément que la couronne britannique laissa les Irlandais mourir de faim ( ce qui est VRAI !), ils sont bon nombre à vouloir se venger. Scarlett se retrouve en plein centre d'une guerre, tout aussi sanglante. Ses relations plus ou moins amicales avec quelques nobles anglais va peut-être lui faire perdre l'admiration de ses compatriotes. Et l'amour dans tout ça ?! Scarlett va enfin grandir et apprendre ce que c'est que d'aimer...





    4ème de couverture


    En 1936 paraissait Autant en emporte le vent, un roman-fleuve qui allait devenir très vite un livre-culte. Il s'en est vendu à ce jour 25 millions d'exemplaires dans le monde, et ses héros, Scarlett O'Hara et Rhett Butler, incarnés à l'écran par Vivien Leigh et Clark Gable, sont entrés à jamais dans la galerie des amants légendaires.

    Près de soixante ans ont passé et, pour des millions de témoins, les amours orageuses entre Rhett Butler et Scarlett O'Hara restaient en suspens.

    Voici enfin la suite tant attendue de Autant en emporte le vent : Scarlett. Dans ce roman d'Alexandra Ripley, l'aventurier cynique et la brune fougueuse et pétrie d'orgueil n'ont pas pris une ride. Il est vrai que Scarlett n'a que 28 ans... Parviendra-t-elle à reconquérir Rhett ainsi qu'elle se l'est promis dans les dernières pages du roman de Margaret Mitchell ?



    Voici ma liste "Coups de coeur" incomplète qui justifie mon ENORME envie de visiter l'Irlande : 
    Oscar Wilde, James Joyce,  Samuel Beckett, W.B.Yeats, U2, The Cranberries, Van Morrison, The Corrs, Sinéad O'Connor, Les Commitments de Alan Parker, Au nom du père de Jim Sheridan, la Guinness, le Ragoût irlandais « Irish Stew », le Petit déjeuner d’Ulster « Ulster fry », le Snake Bite Black ...et bien entendu, le  
    "Cake Irlandais"  , Scarlett, les farfadets et le trèfle à trois feuilles.

    Et je termine par un des nombreux passages que j'ai adoré

    " Scarlett traversa lentement la pelouse et passa près de l'enclos des vaches. Elle ne guérirait jamais de son aversion pour les vaches même si elle devrait vivre cent ans. Sales bêtes à cornes pointues. En bordure du premier champ, elle se pencha sur la clôture pour humer la riche odeur ammoniaquée de la terre fraîchement labourée et enrichie de fumier. C'est drôle comme en ville le fumier sent mauvais et fait sale, alors qu'à la campagne c'est le parfum du fermier "

     
           C'EST SÛR, ELLE VA ME MANQUER, SCARLETT !



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  • Sous ma couette, "Tentation" de Stephenie Meyer a pris le pouvoir. De nouveau vampirisée par l'histoire de "Bella et d'Edward" ( "Fascination" ) pas si glamour que je le pensai, je suis dorénavant sur une liste d'attente pour accéder aux tomes 3 et 4. Oui, je vais lire la suite même si parfois, l'écriture de Stephenie Meyer est maladroite ! Le suspens, et ça j'y tiens, est bien présent. L'intrigue, et ça j'y tiens aussi, est prenante malgré l'absence de certains personnages qui donnaient, je trouve, une importance au côté mystérieux et fantastique de l'histoire dans le tome 1. Je garde espoir sur les tomes suivants.
    A suivre ...





    4ème de couverture
    " Tu ne me reverras plus. Je ne reviendrai pas. Poursuis ta vie, je ne m'en mêlerai plus. Ce sera comme si je n'avais jamais existé. " Rejetée par celui qu'elle aime passionnément, Bella ne s'en relève pas. Fascinée par un vampire, comment pourrait-elle retrouver goût à la pâle existence humaine ? Pourtant il faut vivre. Mais Bella n'a de goût pour rien, sinon le danger : alors elle entend la voix d'Edward, et éprouve l'illusion de sa présence. Comme s'il ne l'avait pas abandonnée, comme s'il tenait encore à elle. Bella échappera-t-elle à cette obsession amoureuse qui la hante ? A quel prix ?



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