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    photos©Voyelle ( Petit parc de Fécamp - 29 déc.2011)

     

    Il vaut mieux avoir de l'avenir que du passé. » Victor Cousin, philosophe et homme politique (1792-1867)


    Donnez-vous des rendez-vous partout,

    Dans les champs, dans les choux,

    Faites-vous des baisers tout de suite,

    Des serments sur le grand huit.

    Le temps passe à toute vitesse,

    Roulez jeunesse. » Louis Chedid


     

    C'est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante. » Paulo Coelho


     

    BONNE FÊTE DE FIN D'ANNEE !

    bises, Voyelle :)

     

     




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  • J'ai déjà apprécié son premier roman Sukkwan Island...Décidément, David Vann possède une écriture envoutante.

     

    Dans la froide beauté de l'Alaska, nous assistons à la lente agonie d'un couple, jeunes retraités. Toute une vie ou presque qui va basculer jusqu'au point de non-retour et où les sentiments ne laisse place qu'à la cruauté. 

    Un roman stylé, rythmé, saisissant, troublant, prenant, violent, tragiquement bon !!!

    David Vann sait et avec une force magistrale transmettre la souffrance de la solitude d'une indéniable justesse. Pas de chichis, pas de tralalas...droit au but !

    J'adore !!!!!!


    couv-vann

    Editions Gallmeister - 2011

    Traduit de l'américain par Laura Derajinski

     

    4ème de couverture

    Sur les rives d’un lac glaciaire au cœur de la péninsule de Kenai, en Alaska, Irene et Gary ont construit leur vie, élevé deux enfants aujourd’hui adultes. Mais après trente années d’une vie sans éclat, Gary est déterminé à bâtir sur un îlot désolé la cabane dont il a toujours rêvé. Irene se résout à l’accompagner en dépit des inexplicables maux de tête qui l’assaillent et ne lui laissent aucun répit. Entraînée malgré elle dans l’obsession de son mari, elle le voit peu à peu s’enliser dans ce projet démesuré. Leur fille Rhoda, tout à ses propres rêves de vie de famille, devient le témoin du face-à-face de ses parents, tandis que s’annonce un hiver précoce et violent qui rendra l’îlot encore plus inaccessible.

     

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    photos©Voyelle

     

    "Un chat attrapa un moineau et s'apprêtait à le dévorer lorsque l'oiseau lui dit : "Un gentilhomme ne mange jamais avant de s'être lavé le visage". Le chat, frappé par cette remarque, reposa le moineau et se mit à se toiletter de la patte, mais l'oiseau s'envola. Fort vexé, Minou s'exclama : "dorénavant et pour le restant de ma vie, je mangerai d'abord et me laverai ensuite". Et c'est bien ce que font les chats, jusqu'à ce jour." Charles H. Ross (1868)



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    photos©Voyelle

     

    Un p'tit bout de Noël ENCHANTEUR pour Zaza...un très joli pot en céramique offert et réalisé par ma lutine, elle sait que sa môman aime les lutins. Voilà donc ma boîte à bonbons que je remplirai régulièrement de gourmandises du moment.

    Et toi, une envie de chocolat, today ?!


     


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    photos©Voyelle

     

    «Ce que je me rappelle parfaitement, c'est la croyance absolue que j'avais à la descente par le tuyau de la cheminée du petit père Noël, bon vieillard à barbe blanche qui, à l'heure de minuit, devait venir déposer dans mon petit soulier un cadeau que j'y trouverais à mon réveil. Minuit ! cette heure fantastique que les enfans ne connaissent point, et qu'on leur montre comme le terme impossible de leur veillée ! Quels efforts incroyables je faisais pour ne pas m'endormir avant l'apparition du petit vieux ! J'avais à la fois grande envie et grand'peur de le voir ; mais jamais je ne pouvais me tenir éveillée jusque-là, et le lendemain mon premier regard était pour mon soulier au bord de l'âtre. Quelle émotion me causait l'enveloppe de papier blanc ! car le père Noël était d'une propreté extrême, et ne manquait jamais d'empaqueter soigneusement son offrande. Je courais, pieds nus, m'emparer de mon trésor. Ce n'était jamais un don bien magnifique, car nous n'étions pas riches. C'était un petit gâteau, une orange, ou tout simplement une belle pomme rouge. Mais cela me semblait si précieux, que j'osais à peine le manger. L'imagination jouait encore là son rôle, et c'est toute la vie de l'enfant.

    Je n'approuve pas du tout Rousseau de vouloir supprimer le merveilleux, sous prétexte de mensonge. La raison et l'incrédulité viennent bien assez vite, et d'elles-mêmes; je me rappelle fort bien la première année où le doute m'est venu, sur l'existence réelle du père Noël. J'avais cinq ou six ans, et il me sembla que ce devait être ma mère qui mettait le gâteau dans mon soulier. Aussi me parut-il moins beau et moins bon que les autres fois, et j'éprouvais une sorte de regret de ne pouvoir plus croire au petit homme à barbe blanche. J'ai vu mon fils y croire plus longtemps ; les garçons sont plus simples que les petites filles. Comme moi, il faisait de grands efforts pour veiller jusqu'à minuit. Comme moi, il n'y réussissait point, et comme moi, il trouvait au jour le gâteau merveilleux pétri dans les cuisines du paradis. Mais pour lui aussi la première année où il douta fut la dernière de la visite du bonhomme. Il faut servir aux enfans les mets qui conviennent à leur âge et ne rien devancer. Tant qu'ils ont besoin de merveilleux, il faut leur en donner. Quand ils commencent à s'en dégoûter, il faut bien se garder de prolonger l'erreur et d'entraver le progrès naturel de leur raison. »  

    Georges Sand

     

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    photos©Voyelle

     

    Portez-vous bien !!

    bises, Voyelle


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    photos©Voyelle

    Fécamp by Night



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