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    Si j'avais dû n'en choisir qu' 1 au tarif normal de 8€(cher, trop cher, beaucoup trop cher !!!)...sans hésitation, c'est le dernier film de Clint Eastwood qui aurait eu ma préférence. J'adore l'acteur, l'homme, le réalisateur et sa direction d'acteurs. 

    Pour moi il est INCONTOURNABLE !

    Mais j'ai beaucoup de chance, cette année de pouvoir bénéficier d'un programme plus large...à 3€ la place...Vive la fête du cinéma ! J'irai donc voir "The Artist" pour la nostalgie des films muets et la performance d'acteurs, "Millenium 2" parce que j'ai adoré le premier et LE "J.Edgar" de Clint pour les raisons que je vous ai donné en amont.

     

    Je sens que le week-end va être une vrai régalade...un week-end sous le signe des étoiles du cinéma !! Peut-être bien que je vous donnerai mon avis plus tard...va savoir !


     


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    Hors de question de râter l'ultime avec Potter ... et dire que je suis obligée d'attendre la semaine prochaine,  j'ai hâte ! SOUPIR !!!!!!!

     


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    Synopsis : A Bouzolles, tout le monde connaît la famille Tuche. Jeff, Cathy et leurs trois enfants vivent du système D. Respectueuse de la philosophie Tuche, « l’homme n’est pas fait pour travailler », toute la famille s’emploie à être heureuse malgré le cruel manque de revenus.
    Leurs vies étaient toutes tracées. Ils seraient toujours pauvres, mais heureux. Mais un bouleversement va mettre en péril ce fragile équilibre. Les Tuche vont devenir riches, très riches. 100 millions d’euros gagnés à « L’Euroloterie » vont tout changer.
    Quitte à changer de vie, autant changer de lieu. Quoi de plus logique pour les Tuche que d’aller vivre à Monaco, là où Cathy a toujours rêvé d’habiter.
    Ils devront se faire accepter, s’intégrer dans leur nouvelle patrie, changer leurs habitudes sans changer leurs sentiments. La partie n’est pas gagnée pour cette famille qui a comme adage « Tuche pour un, Un pour Tuche ».


    Ils ont "tuché" le gros lot, pas moi...disons pas encore, ça fait même un bail que je n'y joue plus d'ailleurs... au loto. La bande annonce laisse présager que "LesTuche" sera la comédie de cet été. Pas sûr qu'à Monaco, ils apprécient le coup de pub en vue du mariage princier !

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    La sortie du film à deux jours de la noce monégasque ?! c'est ça qui est le plus drôle...Moi, je trouve ça génial que les deux fassent la paire. je verrai bien le film projeté en plein air devant la palais. Entrée gratuite, ça va de soi !

    Si tu vas au ciné voir "Les Tuche", tu me raconteras ?! parce que moi, même si la bande annonce m'a bien fait marrer, je ne suis pas si cruche, histoire d'en rire, pour payer 7,80€ la place ou voir le mariage en direct sur le petit écran. Déjà qu'ils nous ont gavé avec le mariage British. Mouais,le rire à un prix...trop cher pour moi.   Et pourtant j'aime très beaucoup  Isabelle Nanty !!!!!!

     

    Je t'ai fait rire là ?! Non ?! même pas quelques secondes ?! ...tant mieux c'était fait pour...histoire de...euh...pleurer de rire...vaut mieux ça que d'en mourir, non ?! de rire hein !

     

     



     

    ma participation au "True Colors" de "Nikit@"  

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  • Pour le "True colors" de "Nikit@" , cette semaine, je vous emmène pour une virée cinématographique signée Henri Georges Clouzot "Quai des orfèvres" ( 1947) , Marcel Carné "Quai des brumes" (1938) et Olivier Marshall "36, Quai des orfèvres" ( 2004).

    TrueColors.png   Je vous laisse visionner quelques extraits en très bonne compagnie...les acteurs sont splendides, du très grand art comme j'aime !!!

     

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    Synopsis : Dans le Paris de l'après-guerre, la jeune chanteuse Jenny Lamour fait parfois usage de ses charmes, notamment auprès d'un vieillard libidineux influent, un certain Brignon, pour se faire une place dans le milieu du music-hall. Son mari, un brave type, Maurice Martineau, par jalousie, profère des menaces de mort envers le septuagénaire, qui est retrouvé assassiné peu après. L'inspecteur Antoine, un flic désabusé et humain du Quai des Orfèvres, est chargé de l'enquête. 

     



     

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    SYNOPSIS : Jean (Jean Gabin), un déserteur de l'armée coloniale, arrive au Havre d'où il veut quitter la France. Dans le bistrot de Panama, un original, il fait la connaissance de Nelly (Michèle Morgan), jeune fille mélancolique terrorisée par son tuteur Zabel (Michel Simon) qu'elle soupçonne d'avoir assassiné Maurice, son amant. Pour défendre Nelly, Jean tue Zabel. Alors qu'il s'enfuit pour le Venezuela, il est assassiné par Lucien (Pierre Brasseur), un jeune truand local dont il s'est attiré la haine.

     

     Anecdote et polémique :

    Lors du tournage, Pierre Brasseur, qui parla en mal de Michèle Morgan, s'attira la rancune de Jean Gabin. Ce dernier, très fâché, lorsqu'il dut gifler Pierre Brasseur dans l'une des scènes, ne retint pas son coup. Et on obtint alors l'une des plus belles paires de claques de l'histoire du cinéma.


    Dès sa sortie, le film est l'objet de nombreuses polémiques.

    Un soldat déserteur, un vieillard assassin qui tente de violer sa filleule, un peintre qui peint les choses derrière les choses, le noyé derrière le nageur, un patron de bistrot fournissant des faux papiers, un voyou et sa bande sont des personnages n'ayant aucun rapport avec ceux mis en scène à l'époque du Front populaire.

    Le réalisateur Jean Renoir est très critique baptisant le film Le Cul des brèmes et disant que « ce film est une propagande fasciste parce qu'elle montre des individus tarés, immoraux et que l'on pense immédiatement qu'il faudrait un dictateur pour remettre de l'ordre là-dedans ». À l'époque, Jean Renoir était proche du parti communiste et avait réalisé des films glorifiant la classe ouvrière : Le ciel est à nous , Le Crime de Monsieur Lange.

    Le scénariste et dialoguiste Henri Jeanson prend la défense de Carné et Prévert et accuse Renoir d'être du « parti à cellules et à oubliettes ».

    Marcel Carné racontera plus tard qu'une grave altercation opposa Jean Renoir à Jacques Prévert, ce dernier menaçant Renoir de lui casser la gueule s'il continuait à dire que ce film est un film fasciste (bien qu'ils aient tous deux auparavant travaillé ensemble en 1936 pour le film Le crime de Monsieur Lange). Renoir lui rétorque qu'il voulait simplement dire que les personnages avaient la tripe fasciste.

     



     

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    SYNOPSIS : Paris. Depuis plusieurs mois, un gang de braqueurs opère en toute impunité et avec une rare violence. Proche de la retraite, le directeur de la Police Judiciaire, Robert Mancini (André Dussollier), se montre parfaitement clair avec ses deux subordonnés les plus directs, le commissaire divisionnaire Léo Vrinks (Daniel Auteuil), patron de la Brigade de Recherche et d'Intervention, et le commissaire Denis Klein (Gérard Depardieu), patron de la Brigade de Répression du Banditisme : celui qui fera tomber ce gang le remplacera à son poste de « grand patron » du 36, quai des Orfèvres. La lutte est ouverte entre ces deux grands flics, autrefois amis, qu'aujourd'hui tout sépare : leurs vies, leurs méthodes, leurs équipes et une.... femme.

     


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