• 9782330012601

    Editions Actes Sud - août 2012

    Je me sens déjà transportée par ses mots...mon incontournable, toujours en tête de liste, mon number ONE, j'ai nommé Laurent Gaudé. Son dernier roman "Pour seul cortège" va encore être une vraie régalade? J'en suis certaine. Je ne l'ai pas encore acheté mais ce n'est pas faute de vouloir. Mon bas de laine est vide. Il me faudra donc attendre début octobre...héhé, le plaisir sera encore plus... jouissiff !!! Hummmmm ! Je me vois déjà sous ma couette à le dévorer tout cru...LE LIVRE !!!!!!!!!

    Sa 4ème de couverture ( MIAM !!!)

    En plein banquet, à Babylone, au milieu de la musique et des rires, soudain Alexandre s’écroule, terrassé par la fièvre. Ses généraux se pressent autour de lui, redoutant la fin mais préparant la suite, se disputant déjà l’héritage – et le privilège d’emporter sa dépouille.
    Des confins de l’Inde, un étrange messager se hâte vers Babylone. Et d’un temple éloigné où elle s’est réfugiée pour se cacher du monde, on tire une jeune femme de sang royal : le destin l’appelle à nouveau auprès de l’homme qui a vaincu son père…Le devoir et l’ambition, l’amour et la fidélité, le deuil et l’errance mènent les personnages vers l’ivresse d’une dernière chevauchée.
    Porté par une écriture au souffle épique, Pour seul cortège les accompagne dans cet ultime voyage qui les affranchit de l’Histoire, leur ouvrant l’infini de la légende.
    Ses mots à propos ( intense déjà !!!)  «ALEXANDRE LE GRAND n’est pas un personnage historique. Ce n’est pas ainsi que j’ai voulu l’approcher. C’est un maelström, un tourbillon de forces contradictoires. Un mélange saisissant de violence et de beauté, de rêves et de démence. Alexandre n’est pas une figure de nos livres d’histoire, il est bien plus que cela : c’est un mythe, c’est-à-dire une force vivante qui m’intrigue, m’habite, et se déploie dans mon imaginaire. Avec Pour seul cortège, je n’ai pas voulu proposer au lecteur la reconstitution d’un épisode de notre Antiquité, j’ai voulu embrasser Alexandre. Le roman historique ne m’intéresse pas, parce qu’il corsète la fiction. Le roman historique ne m’intéresse pas parce que je préfère l’éblouissement à la véracité, l’épique à l’exactitude. Je veux être dans la fièvre plutôt que dans le détail, tenter d’insuffler au livre une énergie chamanique plutôt que rester fidèle à la chronique. Pour seul cortège est un chant à deux voix, celle d’Alexandre et celle de Dryptéis. Au fond, il n’y a que ces deux personnages-là et, au coeur du livre, l’énigme de ce qui les lie. Chacun va offrir à l’autre la possibilité de s’affranchir du temps et du poids de l’Histoire. Ce qui me touche, c’est la vibration de leur parole. Ce qui me touche, c’est leur héritage. J’ai écrit Pour seul cortège parce que je veux être du côté des cavaliers du Gandhara, ces cinq compagnons qui abandonnent l’Empire pour embrasser l’immensité, ces cinq hommes qui quittent le réel pour plonger dans le mythe et qui le font avec ivresse. » Laurent Gaudé

    C'était ma participation à la "rentrée littéraire" chez Zaza

    pour "Un lundi parmi tant d'autres"


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  • «Après quelques verres, j’arrive sans problème à convaincre mon entourage que mon attitude dans la vie est foncièrement positive et optimiste.»

    Tiens donc ?!  et bien ce n'est pas du tout l'impression que Béa donne, du moins pour le lecteur. L'on se demande justement ce qu'elle fuit en buvant plus que de raison. Et puis, qu'elle(s) raison(s) soudaine (s) pousse cette jeune femme, talentueuse caricaturiste, de refuser un fabuleux contrat et de partir en croisière. Un départ précipité qui nous laisse présager que le voyage va être mouvementé. Mais c'est Anne.B.Ragde qui mène la danse et nous voilà très vite embarquer dans un huit clos polaire très prenant. Et si c'était pour rencontrer un ours ?! On n'y croit pas vraiment mais vu la destination on peut lui accorder le bénéfice du doute.Après quelques pages,l'auteur arrive sans problème à convaincre le lecteur que l'attitude de Béa cache un secret. Un voyage programmé dans un but bien précis. L'histoire nous révèle des évènements auxquels on ne s'attend pas du tout, les personnages sont ambigus et suspicieux. Des ingrédients positifs qui font de ce roman noir une réussite. Et puis, il a la découverte du Svalbard, sa faune et sa flore. Une grandiose terre glaciale aux multiples trésors naturels qui a inspiré aussi Philipp Pullman avec son excellente trilogie "A la croisée des mondes".

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    photos Cap Scandinavie

    Le royaume des ours blancs et le plus grand gisement de reptiles marins préhistoriques au monde...l'auteur nous offre un panorama époustouflant sans cesse renouvelé par ses glaciers. Vous l'aurez compris, ce roman est riche en découverte et en rebondissement mais rien à voir avec "la croisière s'amuse" !

    Après lecture, l'on envisagerai bien de partir vers ses beautés glaciales pour en prendre plein les mirettes. Leçon d'écologie aussi dans ce bijou littéraire car la cupidité des hommes y jouent un rôle.

    9782353151059-zona-frigida

    Editions Balland - 2011

    traduit du norvégien par Hélène Hervieu et Eva Sauvegrain

    4ème de couverture

    Qu'est-ce qui a bien pu pousser Bea, jeune caricaturiste branchée de 35 ans, à s'inscrire pour une croisière à destination des terres du Grand Nord ? La croisière, d'abord : un concept plutôt destiné au Troisième âge et pas à une célibataire croqueuse d hommes comme elle... La destination, ensuite : le Svalbard, dite « Zona frigida », aux confins septentrionaux de la Norvège, ne constitue pas un territoire des plus accueillants. On prétend même qu'il y fait si froid que tous les animaux sont devenus blancs... Autant dire que la présence de Bea sur ce cargo a de quoi susciter la curiosité de ses compagnons de route.
    Si la jeune femme a prétexté auprès de ses proches le besoin de rompre avec son quotidien, il apparaît rapidement que ses motivations sont tout autres : Bea a des comptes à régler avec son passé et ce voyage devrait lui permettre de repartir à zéro. La croisière d'agrément va vite se transformer en cauchemar pour certains passagers...

    Anne Birkefeldt Ragde est née en 1957, elle a passé son enfance à Trondheim, ancienne professeur assistante de communication à l'Université de Trondheim, elle a écrit plus de quarante livres depuis 1986 aussi bien pour les adultes que pour les enfants. Auréolée des très prestigieux prix Riksmål (équivalent du Goncourt français), prix des Libraires et prix des Lecteurs pour sa « Trilogie de Neshov », Anne B. Ragde est une romancière à succès, déjà traduite en 15 langues, aux millions d'exemplaires vendus.


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  • Le seul, l'unique soleil floral qui il a deux jours me faisait de l'oeil et bien aujourdhui, il m'ouvre son coeur...Un véritable coup de foudre !

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    photos©Voyelle

    Ma participation au MACRO FOLIE de Magda


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    Quand la gourmandise rime avec le plaisir d'un fromage fouetté, tartiné sur une épaisse tranche de pain Home Made. (photo©Voyelle - sept 2012)

    Pour le Mercredi Gourmand Chez  Anne-Laure


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  • Silence, ça mûrit pas...

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    photo©Voyelle - Sept 2012

    Le comble du jardinier est de se mettre tout nu devant des tomates pour les faire rougir...moi j'ose pas de peur de les faire jaunir.

    Y a t-il des volontaires ?! ( emploi bénévole )


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  • Petite douceur que j'apprécie à l'heure de nos apéros-duo...souvent, avec modération pour apprécier sa fraîche élégance et sa fraîcheur élégante mais... «Pour savoir qu'un verre est de trop, encore faut-il l'avoir bu» Georges Courteline

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    photo©Voyelle

    ( ma sobre participation à l'INSTANT.T chez Nikit@)

     


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