• Pour un déjeuner léger ! ça me va tout à fait, vu les extras culinaires des vacances !



    ©voyelle


    Pour 6 personnes ou 4 gourmands
    1 pâte brisée
    1 grosse boîte de thon au naturel (185g égoutté)
    2 tomates moyennes
    200ml de lait entier
    200ml de crème entière liquide
    3 oeufs battus en omelette
    20g de maïzena
    1 1/2 cuillère à café de muscade en poudre
    sel, poivre et chapelure

    Préchauffez le four à 200°C. Etalez la pâte dans un plat à tarte et saupoudrez de chapelure ( technique pour éviter, à cause du jus des tomates, que votre pâte se ramolisse et qu'au moment de servir la part s'effondre. Pas très présentable dans ce cas, non ?! )
    Egouttez le thon dans un tamis. Mélangez dans un saladier les oeufs battus en omelette avec le lait et la crème. Ajoutez la maïzena tamisée et le thon émietté et mélangez bien le tout. salez et poivrez à votre convenance. Coupez les tomates en lamelles et déposez-les sur le fond de tarte ( je n'ai pas mis les talons de tomates ) Versez délicatement la préparation avec le thon sur les tomates et saupoudrez de chapelure. Enfournez pour 35 minutes.

    A déguster avec une salade verte. J'ai ajouté de la feta émiettée à l'assaisonnement pour un petit goût corsé qui s'associe bien à la tarte plus fade au goût.



    ©voyelle

    Et bientôt, Madame Balance va retrouver le sourire, son aiguille est à la baisse !


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  • ©voyelle

    Mes premières baguettes ! Une totale réussite ! Ma lutine les adore : « On dirait de la baguette rustique !» La vérité sort de la bouche des enfants même des GRANDS...ENFANTS.
    J'ai déniché la recette sur le blog
    les délices d'Hélène que je remercie pour cette belle découverte boulange. Je crois bien que c'est une recette que je vais faire souvent, très souvent même.

    Essayez ! vous ne serez pas déçu(s)...parole d'apprentie boulangère ! bah, oui, si j'vous l'dis...m'enfin !


    ©voyelle


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  • ©voyelle

    1ère étape avant d'aller à Senlis sur les traces de "Séraphine": Gerberoy
    Village charmant et charmeur qui se situe au centre d’un triangle formé par Beauvais, Rouen et Amiens au cœur de la Picardie. Culminant à 188 mètres la commune a reçu en 1202 le titre de « ville » décerné par le roi Philippe Auguste.


    ©voyelle


    Ses maisons du XVIIe et XVIIIe siècles, en bois et torchis ou briques et silex, font de Gerberoy un lieu de promenade unique.









    ©voyelle


    Le cheptel de Gerberoy !


    ©voyelle



    En 1901, le peintre Henri Le Sidaner exprime le souhait de s'installer à la campagne, à l'instar de son ami Claude Monet à Giverny, Auguste Rodin lui suggère la région de Beauvais. La tranquilité et le charme d'une maison de Gerberoy le séduisent d'emblée. L'artiste réveille cette petite ville en poussant les habitants à embellir les maisons et les jardins, en y plantant des milliers de rosiers.

    « Je songerai sans doute encore le dernier jour où je disparaîtrai, à la plus humble demeure de Gerberoy, où les doigts malhabiles viennent accrocher sur les volets de la fenêtre l'unique tige fleurie qu'une grappe de roses aura alourdie et qui, peut-être, apportera avec elle, comme en un mystère, l'éveil de la grâce que toute la nature contient en son éblouissement. »
    (Henri Le Sidaner)



    ©voyelle


    Salon de thé, chambres d'hôtes "Les jardins du Vidamé"

    ©voyelle

    A l'entrée du village, "La maison du guet" ( expositions temporaires) accueille actuellement les peintures de Sylvie Fortin 


    ©voyelle


    Et puis la mare avec ses nénuphars qui n'est pas sans rappeler un peu l'univers de Monet. Non ?!

    ©voyelle

                             
    ça va, pas trop ennuyeuse la ballade ? la suite demain !
                 


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  • "Le relais des artistes", boutique incontournable dans le centre ville de Veules-les-Roses (76). De la cave au grenier pour ainsi dire, jusque dans le jardin, ce n'est pas facile de résister.









    Jardins secrets, maisons de charme... qui vont rêver ! à Veules-les-roses, une escale s'impose !







    Le petit "Montmartre"


    photos©voyelle


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  • C'est  Soso  o-miam-miam-de-soso qui a gagné au jeu "Comment je m'appelle ?"  de plus elle vient d'ouvrir une nouvelle communauté de cuisine avec un livre à gagner ! chouette ! 

     

    Pour tenter votre chance, il faut :
    1 -  Mettre un article sur votre blog avec un lien de son article o-miam-miam-de-soso( page 15)
    2 -  Vous inscrire  à la communauté
    1...2...3...Miam Miam  
            et publier la recette de votre choix
    3 -  lui laisser un petit commentaire afin qu'elle puisse valider votre inscription 

    Soso sera absente du 8 au 22 août 2009. Un tirage au sort parmis tous les inscrits se fera à son retour de vacances le 1 septembre. Les inscriptions en son absence seront validées à son retour et compteront bien sûr !!



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  • Une p'tite purée, ça vous tente ? Aromatisée au lait de coco, elle accompagnera avec succès vos colombos !
    De plus, c'est tout simple à réaliser.


    ©voyelle

    C'est pour 2 ou 3, mais vous pouvez doubler, tripler les mises selon le nombre d'affamés autour de votre table !

    400g de pommes de terre épluchées
    200ml de lait de coco
    gruyère râpé ( je le râpe moi-même...moi aime mieux comme ça et plus économique aussi ! )
    sel et poivre

    Préchauffez le four à 180°C. Faîtes cuire les pommes de terre et écrasez-les au moulin à légumes. Pour ma part, je préfère utiliser le traditionnel presse purée... pour le côté rustique !  Ajoutez progressivement le lait de coco en mélangeant avec un fouet. Salez et poivrez selon votre convenance.  Versez la préparation dans des ramequins et saupoudrez de gruyère selon votre goût. Enfournez quelques minutes, le temps de réchauffer la purée et que le gruyère soit fondu.
    Bon App!


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